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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2009-07-29 | [This text should be read in francais] | Submited by Guy Rancourt
Il s’approcha, ailé,
Et tes paupières mirent le voile sur ton regard radieux. Tu mourus – flamboyante À l’heure la plus terne. Que pourront donc expier Ces deux dernières larmes brèves ? Il réfléchit – Quatre heures Sonnèrent. Il partit sans être vu, Emportant le mot le plus précieux. Mais personne n’entendit Ton dernier appel. Et s’est perdu dans la mer des bruits Le cri qui déchira ton sein et ton âme. Rose, tu te noyais Dans le matin trouble… Moscou, 1912 (Marina Tsvétaïéva, Le ciel brûle)
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