agonia english v3 |
Agonia.Net | Policy | Mission | Contact | Participate | ||||
Article Communities Contest Essay Multimedia Personals Poetry Press Prose _QUOTE Screenplay Special | ||||||
|
||||||
agonia Recommended Reading
■ No risks
Romanian Spell-Checker Contact |
- - -
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2009-09-23 | [This text should be read in francais] | Submited by Guy Rancourt
J’aime ce village, où sont les orangers,
Sans se voir, deux jeunes filles se disent leurs amours Sur deux infiniment plaintives mandolines. Et j’aime cette auberge, car les servantes, dans la cour, Chantent dans la douceur du soir cet air si doux De la « Paloma ». Écoutez la paloma qui bat de l’aile… Désir de mon village à moi, si loin ; nostalgie Des antipodes, de la grande avenue des volcans immenses ; Ô larmes qui montez, lavez tous mes péchés ! Je suis la paloma meurtrie, je suis les orangers, Et je suis cet instant qui passe et le soir africain ; Mon âme et les voix unies des mandolines. » (Valery Larbaud, Les Poésies d'A.O. Barnabooth, 1913)
|
||||||||
Home of Literature, Poetry and Culture. Write and enjoy articles, essays, prose, classic poetry and contests. | |||||||||
Reproduction of any materials without our permission is strictly prohibited.
Copyright 1999-2003. Agonia.Net
E-mail | Privacy and publication policy