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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2015-02-09 | [This text should be read in francais] | Submited by Guy Rancourt Inquiet, avide de voyages Sortant d’un rêve incohérent J’entends mon bambou sauvage Susurrer dans le noir son chant. Je ne peux m’étendre, m’apaiser, Je dois quitter les voix anciennes, Me projeter au loin, voler, Partir où l’infini me mène. Jadis, il y a de cela mille ans Dans une patrie, un jardin Sur un tombeau d’oiseau tout blanc Les crocus pointaient un à un. J’aimerais déployer des ailes Loin du sortilège qui m’entoure Rejoindre l’époque si belle Dont l’or m’illumine toujours. (Hermann Hesse, Éloge de la vieillesse, Paris, Calmann-Lévy, 2000, p. 178)
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