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■ Voir son épouse pleurer
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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2008-05-04
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j'ai marché sur les traces des coquillages, des plumes et de petites pierres. sur le tard je suis arrivé à la maison sur la plage. sans frapper à la porte, tu m'as dit: entre! un cerf volant en papier prenait la place du dé. les chiens aboyaient, tu riais et moi, je te couvrais de mots. des fragments d'un bonheur faisaient seuls le jeu. tu a passé le fil de Rafila sur une digue pleine de vent et de marmots...
derrière l'histoire, une main sur la main, un oiseau parlant au premier plan, le bord au bord de l'infini le quintette de l'attente les couleurs de la saison d'une falaise le blanc au milieu du vert le fragmentaire vu de profil la tonalité douce des fleurs la chute de la feuille. dans le bois le plus touffu je siffle et j'appelle Dante. il hennit au milieu des roseaux. (en secouant la selle sur le dos. le filtre de la lumière s'est réduit. aujourd'hui, quand le brouillard remplit le lieu, tu fais sur la falaise le jeu). dans le tardif l'histoire interrompue apparaissait tordue. en essayant de faire le silence sur les inquiétudes, une chanson et un aboiement de chien. au bord de l'infini il y a de nouveau la pleine lune. Constanța, 27 février 2008 .............. (d'après "Papagalul lui Alexis" (Casa de pe plaja), Ioan-Mircea Popovici) Montréal, 3 avril 2008
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