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(le sigle)

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par [Salvamaria ]

2008-11-19  |   

Literary Translation - Translations of classic and original poetry and other materials %Ce texte est une suite  | 



les mots qui chantent la mer couraient dans la boîte de velours une chienne aboie après les gens moi je me fonds dans les vers et je me ramasse dans la prose ou je m'égare dans la prose et je fleuris dans le vers mais le vers-mot-hasard ne m'inclurait jamais en entier dans ce même univers même si je marchais dans la rosée ou sur les sentiers de la montagne en suivant le fil de l'eau parsemé de feuilles et de gravier le dor pour les grandes étendues ne s'éteindrait pas et je ne trouverais non plus la fraîcheur dans le bois où on rencontre à chaque pas la coudraie le souvenir habite ma pensée ainsi que le feu de l'étoile du berger qui fond dans le brasier brûlé par un théorème je verse dedans un modèle de mon grand dilemme puis je le mets dans une boucle d'oreille ornée d'une pierre à l'intérieur d'un lemme ouvert vers la falaise de la mer à l'endroit qui fait mal sur la digue-point de forteresse avec une tour où j'ai prêté serment par ma foi c'est de nouveau la fête grand motif de pensées renversées de la peur du rêve d'hier avec des logiques cassées désespérées là où la mer chante et dans son chant on dirait qu'il y a du vent et des nuages moi j'abandonne mes soucis et je vaque en rodador... le chant du coquillage en spirale monte l'escalier et j'ouvre avec joie une fenêtre de ta tour d'autrefois… tu clignes des yeux pour garder la lumière à l'intérieur de toi en laissant tomber une larme sur ma pensée le vent souffle dans le rêve de la plage au rythme d'une danse légère et tendre... le petit instant me fait mal là où le lieu se remplit de vives inquiétudes et au toucher sans nom des fleurs commencent à pousser sur les tiges que tu connais...

entre Zéro et l'Infini se trouvent deux rayons de sphère un sigle de l'impossible fait nœud sur un clin d'œil et au milieu dans le point G éclate de nouveau la semence de tout ce qui est le plus mystérieux du credo...




Constanța, le 29 août 2008

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d'après "cândva" (sigla), de Ioan-Mircea Popovici


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