par gheorghe Sârbu

Parmi toutes les manières d’expression, écraser avec silence est facile pour quiconque.

Une certaine période de temps: décennie, siècle, millenium ou toute autre, peut être comparée avec un appartement en propriété, d’où il résulte que l’expression «ainsi furent les temps» ne se soutient pas, puisque la période, quelle que soit son étendue, elle est inhabitée.
Les gens, exactement dit, sont ceux qui donnent tenue aux temps, qui donnent signification aux temps, qui donnent caractère aux temps.
Mais comment, lorsque l’Homme ne peut pas se maîtriser soi-même?
Facilement: exclure le palliatif de la vie du temps; la cloaque n’a lieu dans aucun registre.
Dès ce moment même, si on commence enseigner la leçon, qui est le respect vers l’homme, individu vers individu, également moi vers moi-même, moi vers l’autre, nous réussirons arrêter la dépréciation, à laquelle le cumul est soumis avec une ténacité digne d’un sens moins dioptrique. Il n’est nécessaire qu’appliquer le nécessaire fonction du nécessaire; c’est-à-dire, statuer le système de valeurs éducationnel, le système de valeurs sanitaire, le système de valeurs édilitaire, et pas nécessairement dans cet ordre, sans faire rabais de la probité. Rien n’est plus simple à obtenir que le bon nom ( … ) sans lequel la perpétuation du temps va souffrir des mutations insurmontables. Il n’y a pas de problème de tenue morale qui, pour se rendre légitime, doive être traîné devant une instance de jugement. Il n’y a pas d’instance, d’autant moins celle astrale, qui pose la vérité avec la tête sur le billot ( … ), ainsi qu’il n’y a pas, et on ne peut pas y avoir de l’existence, sans sa motivation essentielle : l’homme.
En travaillant à la dépréciation de la représentation de l’homme, nous travaillons au fond à l’altération de l’existence.
La mort n’est pas ouvrage d’homme.
La vie est ouvrage d’homme.
Alors, pourquoi est-ce que nous nous donnons une peine tellement démesurée au but de «l’autodestruction » ( ? ) - on peut rencontrer des éléments confluents chez Socrate, H. Maier, H. R. Patapievici …
Le réveil est d’autant plus urgent, que les deux coryphées aldiniques : la théorie Cuvier et la théorie Malthus se trouvent dans une équation acamique – abécédaire : les inondations de cette année, les éboulements de cette année, les tornades en pleine ascension régionale de cette année, l’effondrement des avions de passagers de cette année, le déraillement forcé des trains souterrains et de surface de cette année, le meurtre du frère Roger, similairement et non pas accidentellement à l’agneau biblique.
Suivant le dé, ainsi que le dé tombe, et désormais, nous allons tuer la flore …
Suivant le dé, ainsi que le dé tombe, et désormais, nous allons tuer la faune …
Suivant le dé, ainsi que le dé tombe, et désormais, nous allons tuer l’oxygène …
Si nous ne nous fourrons pas dans la tête, aujourd’hui même, la conviction que nous devons accomplir dans l’être un ouvrage élongatique, demain nous allons nous réveiller dans l’hypostase de particules stériles.
J’ai dit tout ça au-dessus, stimulé par l’idée que, si l’homme d’aujourd’hui reste indifférent envers l’homme de demain, à la grande nature, dans un tel procès, ne lui reste que l’alternative, la seule: de chaude se rendre froide, de coopérante se rendre inflexible, de vive se rendre amorphe; ce qui, si l’homme ne va plus s’abattre de règle de son attribut, peut être ajourné indéfiniment – le but, s’il n’est pas calibré selon l’allonge de la mission, emmène dans l’être seulement la morve.

Avec matricule, l’Esprit est libre; seulement lorsqu’il n’est pas dépendent de liberté.